le monde de l'Orthodoxie

Depuis 2021, une fois par mois, le Père Pierre Kazarian-Toumanoff nous présente l’actualité des paroisses orthodoxes de notre département et les acteurs culturels qui les animent.

TOUS LES ÉPISODES

Les interprétations à proposer pour les fêtes liturgiques de l’année sont innombrables. Avant d’entamer la période estivale et de reprendre nos émissions à la rentrée de Septembre, abordons cette dernière grande fête de notre Seigneur Jésus Christ : la Transfiguration.
En ce qui concerne la Transfiguration, on peut valoriser le fait que le 6 août est équidistant du solstice d’été et de l’équinoxe d’automne.
Il est au milieu de l’été.

A l’occasion de la fête de la Transfiguration, à une date où le soleil est à son zénith, nous bénissons dans nos églises les fruits comme symbole de la matière créée, gorgée par les énergies divines incréées et préfigurant la Transfiguration du cosmos et la chair glorieuse lors du Second Avènement.
Les conséquences cosmiques de l’évènement dérivent également des éléments de la Création qui figurent dans l’icône dont nous allons parler aujourd’hui.

L’icône miraculeuse de la Mère de Dieu dite « Axion estin » (« il est digne ») qui est habituellement vénérée en l’église du Protaton, à Karyès, sur le Mont Athos est arrivée le 3 mai 2023 à Athènes, où elle a été accueillie en la cathédrale de l’Annonciation par des milliers de fidèles.
L’archevêque d’Athènes Jérôme attendait l’icône sur le parvis de la cathédrale. L’icône a ensuite été placée à l’intérieur de l’édifice, proche des reliques de Sainte Philothée d’Athènes, présente en Occitanie dans le parc de Grammont en l’église orthodoxe Ste Philothée.

Le mercredi qui suit le cinquième dimanche après Pâques est le jour où, selon la terminologie liturgique, nous ” prenons congé ” de la fête de Pâques. Nous commémorons le dernier jour de la présence physique du Christ ressuscité parmi ses disciples ; et pour honorer cette présence, pour honorer encore une fois la Résurrection, l’Église, en ce mercredi, répète intégralement l’office du dimanche pascal.
Et maintenant nous touchons au quarantième jour après Pâques, au jeudi où l’Église célèbre la fête de l’Ascension.
Cette fête était célébrée dans toute l’Église dès le début de Ve siècle. À cette époque, les chrétiens de Jérusalem allaient célébrer l’Ascension à Bethléem, dans l’église construite au-dessus du site traditionnel de la grotte. Il y avait dans cette coutume le désir de rapprocher le dernier jour de la vie terrestre de Jésus de son premier jour.

L’Apôtre Pierre, courant au sépulcre après la nouvelle de la résurrection du Sauveur, en plus des linges funéraires, comme nous le lisons dans l’Évangile, a vu une lumière étonnante à l’intérieur du sépulcre du Christ.
“Ayant vu cela, Pierre a cru, il a vu non seulement avec des yeux sensuels, mais aussi avec un esprit apostolique élevé : le Tombeau de lumière était rempli, de sorte que bien qu’il fasse nuit, il l’a vu en deux images : intérieurement, sensuellement et spirituellement .”
C’est ainsi que saint Grégoire de Nysse nous en informe.

Chaque année à l’église du Saint-Sépulcre à Jérusalem, le Samedi saint précédant la Pâque orthodoxe… UN GRAND MIRACLE ACCORDÉ PAR DIEU : LA SAINTE LUMIERE A JERUSALEM …

Ecoutons le révérend père Pierre Kazarian nous en parler.
Voir la vidéo “Célébration du Saint Feu – Holy Fire – Jérusalem 15 avril 2017”.

Après la semaine des laitages , et du -Dimanche de la TYROPHAGIE –(Dimanche de l’expulsion d’Adam) ou du PARDON- nous entrons dans la période du grand carême de Pâque, je vous propose une PETITE HISTOIRE DU CAREME.
La période du Carême des 40 jours, peut être comprise comme un temps unique, exclusif, un temps de préparation à la Pâque annuelle du printemps, et par cela, à la Pâque éternelle du «passage» (c’est le sens littéral du mot hébreu Pesah-Pâque), de la vie corruptible à la vie éternelle, des pénombres à la lumière, de l’exil dans une terre lointaine, celle du péché, à la vision dans le face à face du Royaume.

Nous venons de fêter au mois de Décembre, la Fête de la Nativité autrement dit la première Parousie, c’est à dire comme l’exprime Paul de Tarse, « la venue du Christ parmi les hommes ».
Au mois de Février, l’église orthodoxe fait mémoire de la seconde et sévère Parousie de notre Seigneur Jésus Christ lors d’un dimanche particulier, après le dimanche du publicain et du pharisien et le dimanche du fils prodigue.
Cette mémoire, les très-Saints Pères l’ont placée après ces deux paraboles, afin qu’après avoir appris par elles l’amour de Dieu envers les hommes, nul ne vive dans l’insouciance en se disant : Dieu est l’ami des hommes et, du moment que je me tiens éloigné du péché, je suis prêt à l’achèvement total.
Lorsque Jésus reviendra à la Seconde Venue, ce sera le Dernier Jour, le Grand Jugement, la Résurrection Générale et la Transfiguration universelle de la Création par le Saint-Esprit.

Le calendrier liturgique comporte, au 1er janvier de chaque année, la fête de la Circoncision de notre Seigneur Jésus Christ : d’une part, cela rappelle que Dieu fait Homme a assumé la judaïté propre à la nation dans laquelle Il s’était incarné et s’est soumis volontiers à la loi qu’Il avait Lui-même donnée à Abraham, se montrant ainsi celui-là même en vue de qui Il l’avait donnée, Lui-même; Il s’est manifesté comme celui en qui Il accomplissait sa propre prophétie.
D’autre part, placée à cette date, cette mémoire indique que c’est le temps lui-même, dans sa révolution annuelle, qui est circoncis…

Le 17 janvier, nous célébrons la mémoire de notre Saint Père Théophore ANTOINE le GRAND.

En cette fin d’Année, ou nous célébrons la fête de la Nativité ainsi que la fin de l’année civile, nous abordons les coutumes et traditions de la Grèce, dont beaucoup sont communes à toute la Grèce ainsi que d’autres qui sont de nature locale et peu connues : le bateau de Noël ; les fameuses Kalandes de Noël ; le pain de Noël : Christophsomo ; l’Icône de la Nativité et enfin Le gâteau des rois (Vassilopita).

Le 8 novembre, l’église orthodoxe va fêter la Synaxe des Archistratèges de la milice céleste, MICHEL et GABRIEL et des autres Puissances célestes et incorporelles Avant de créer le monde visible, Dieu a amené à l’existence par Son Verbe et perfectionné en sainteté par Son Saint-Esprit la nature angélique, faisant des Puissances célestes et incorporelles ses Serviteurs zélés et ardents comme un feu immatériel.

Avec le Père Nicolas Kazarian, directeur du département des relations inter-orthodoxes, œcuméniques et interreligieuses de l’archevêché grec orthodoxe des Etats-Unis, nous parlons de la fête cette année des 50ans de la dormition de sa Sainteté Mgr Athénagoras, le pilier de l’oecuménisme.

Aujourd’hui, le père Kazarian nous dit ce qui caractérise l’Orthodoxie, ce que signifie le terme Orthodoxie. Il nous partage le credo de Nicée Constantinople, nous parle des 7 sacrements, appelés aussi “mystères” à cause de la dualité de ce qui est visible (signe extérieur) et invisible (grâce spirituelle) dans chaque sacrement. Il nous parle des 3 ordres majeurs (diaconat, prêtrise et épiscopat) puis du calendrier ecclésiastique et des fêtes importantes avec leur période de carême. Enfin, le père nous parle du témoignage des icônes, de l’importance de la beauté dans la spiritualité orthodoxe enfin de ce qu’est la metanoïa.
Le père nous parle ensuite du 5ème sommet de Halki qui a réuni du 8 au 11 juin 2022 des universitaires et des étudiants orthodoxes et catholiques du monde entier sur le thème : “Soutenir ensemble l’avenir de la planète : Le
ministère prophétique du pape François et du patriarche œcuménique Bartholomée” à Istanbul, en Turquie avec des conférenciers de renom tels que l’archevêque Job de Telmessos, le professeur Giuseppe Argiolas, le professeur Nikolaos Asproulis, le professeur Vincenzo Buonomo, le professeur Piero Coda et Vasilios N. Makrides.

Nous poursuivons notre émission concernant la place de la femme dans l’église orthodoxe.
Et nous vous présentons un événement rare : cette année, lors de la Semaine Sainte, après 10 ans, la préparation et la consécration d’une nouvelle quantité de Sainte Myrrhe ont eu lieu au Patriarcat Œcuménique.
C’est la quatrième fois que la Sainte Myrrhe est consacrée durant la période du Patriarcat de Barthélemy (1992, 2002, 2012 et 2022).

L’Eglise orthodoxe célèbre, le 3ème dimanche qui suit la Résurrection de notre Seigneur Jésus Christ, la Fête des Saintes Femmes Myrophores, c’est-à-dire porteuses d’aromates.
Comme celui de Thomas, le dimanche des saintes femmes porteuses de parfum est consacré aux premiers témoins de la Résurrection.

Les femmes myrophores que nous voyons venir maternellement entourer de leur délicatesse et de leur amour le corps du Seigneur dont elles ignorent encore qu’il est ressuscité, sont les «mères spirituelles» de toutes les femmes chrétiennes.
Aussi nous consacrons cette émission à la place de la femme dans l’église orthodoxe.

Découvrons la situation religieuse en Ukraine et tachons d’ éclairer quant aux difficultés et conséquences que cela entraine.

En ce mois de février où nous fêtons la Sainte patronne de notre paroisse : Sainte Philothée d’Athènes, nous en profitons pour vous proposer, avec Yannis GOUNARI président de la paroisse, de découvrir l’Eglise orthodoxe de Grèce ainsi que la vie de la Sainte protectrice de sa capitale : Athènes.

La fête de Sainte Philothée d’Athènes est célébrée en présence de son Éminence le Métropolite de France, Mgr. DIMITRIOS, le dimanche 20 Février 2022 à l’église orthodoxe Ste Philothée à Montpellier (Château de Grammont).

Ariane de Saint Marcq est experte en icônes orthodoxes auprès de l’hôtel Drouot à Paris. Elle nous présente son ouvrage en voix d’édition : Dormition et Assomption

Commençons cette nouvelle année par la fête de la Théophanie, le baptême du Christ. Après vous avoir présenté l’église orthodoxe russe ou encore appelée le patriarcat de Moscou, nous découvrirons, avec notre invitée Tatiana Sleptsova, les traditions russes pendant cette période de fête.

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Ce mois-ci, le père Kazarian nous parle de la fête de Noël à travers l’icône de la Nativité qu’il étudie pour nous dans tous les détails. Elle se compose donc de cinq scènes juxtaposées: les rois mages, les anges et les bergers, le lavement, Joseph, la Mère de Dieu et l’enfant. Puis il nous présente, avec son invité Slobodan OCOKOLJIC, l’église Orthodoxe Serbe, le « diocèse de France et d’Europe occidentale de l’Église orthodoxe serbe », plus communément connu en dehors de France comme « diocèse d’Europe occidentale ».

C’est l’une des douze grande fête orthodoxe célébrée le 21 novembre en Orient et en Occident : La Présentation de Marie au Temple (en grec ??????? tis Panaghias) Suite de l’ entretien avec le Père Nicolas Kazarian, directeur du département des relations inter-orthodoxes, œcuméniques et interreligieuses au sein de l’Archevêché orthodoxe grec d’Amérique (New York, Etats-Unis) et chercheur associé à l’IRIS (Paris, France).

Le 1er septembre dernier a eu lieu la fête de la Nativité de la Très Sainte Mère de Dieu, présentation de Marie et comment l' Eglise l'honore. Présentation du calendrier liturgique orthodoxe. Dans la dernière partie de l'émission, entretien avec le Père Nicolas Kazarian, directeur du département des relations inter-orthodoxes, œcuméniques et interreligieuses au sein de l’Archevêché orthodoxe grec d’Amérique (New York, Etats-Unis) et chercheur associé à l’IRIS (Paris, France).

Le 1er septembre dernier a eu lieu la fête de la Nativité de la Très Sainte Mère de Dieu, présentation de Marie et comment l’ Eglise l’honore. Présentation du calendrier liturgique orthodoxe. Dans la dernière partie de l’émission, entretien avec le Père Nicolas Kazarian, directeur du département des relations inter-orthodoxes, œcuméniques et interreligieuses au sein de l’Archevêché orthodoxe grec d’Amérique (New York, Etats-Unis) et chercheur associé à l’IRIS (Paris, France).

Aujourd’hui, le père Kazarian nous propose un magnifique voyage en découvrant un paysage accroché à la montagne, parfois surnommé le « Tibet chrétien ». Partons dans la République monastique du Mont Athos, dans une région du nord de la Grèce.

Aujourd’hui, le père Kazarian nous propose un magnifique voyage en découvrant un paysage accroché à la montagne, parfois surnommé le « Tibet chrétien ». Partons dans la République monastique du Mont Athos, dans une région du nord de la Grèce.